Elle s’appelle Corinne, alias Coco. Le 7 janvier 2015, les attentats de Charlie Hebdo ont bouleversé sa vie en une poignée de minutes.

Dans cette adaptation théâtrale de la bande dessinée à succès Dessiner encore, œuvre poétique et profondément humaine, Coco revient sur cet instant suspendu, sur l’après, et sur les questions qui la hantent encore :

Et si elle avait fait quelque chose ? Et si elle avait appelé au secours ? Et si…

Parce qu’un dessin ne tue pas, Coco nous parle et dessine avec générosité, humour et pudeur.

Elle nous emmène dans un voyage intérieur d’une rare sensibilité, où se mêlent ses blessures, ses élans de vie et ses plus belles rencontres, humaines et artistiques, au cœur de la rédaction de Charlie Hebdo.

Trois comédiennes racontent et incarnent en chœur ce personnage lumineux et fragile, donnant corps à son univers onirique.

Un hommage vibrant à la caricature, à l’art courageux du dessin de presse, et à cette énergie indomptable : celle de créer, de rire et de résister.

L’échec n’est jamais qu’une réussite qui se voile la face (et inversement). Ce spectacle en est la preuve.

Dans un souci de communication efficace, il m’a été demandé de résumer mon spectacle. Mais j’en suis incapable. Je suis incapable d’être concise. Mes amis ne me demandent jamais « Comment ça va? ». Ils savent que je vais répondre. Vraiment. En détail. D’ailleurs, je n’ai plus d’amis. Je laisse donc à des personnes de qualité (les personnes qui ont déjà vu ce spectacle) le soin de le « résumer » :

« Une pépite rare, unique, originale, clownesque, pertinente, brillante, émouvante. T.I.N.A. n’est pas descriptible, mais – croyez-moi – irrésistible. » Marie
« Un spectacle venu d’ailleurs, d’une finesse, d’une drôlerie et d’une intelligence inouïe » Benoit
« Quelle performance inclassable ! On rit beaucoup, on réfléchit beaucoup, on est émus, secoués, attendris, séduits » Stephanie

EXTRAITS DE PRESSE

« T.I.N.A. pour « there is no alternative » fait partie de ces propositions volontairement inclassables, ni tout à fait seul-en-scène théâtral, ni tout à fait stand-up humoristique, mais sans doute un peu de tout cela et bien plus que tout cela à la fois.à la fois très drôle et intellectuellement enlevé, qui stimule autant la conscience que les zygomatiques. » TÉLÉRAMA TT

♥♥♥♥ « T. I. N. A. (There is no alternative) est le titre de ce seul en scène inouï qui sort des sentiers battus. À la fois espiègle et singulier, percutant et généreux, hilarant et philosophique, engagé et intelligent, ce spectacle est vraiment inclassable. Mais surtout T.I.N.A. est immanquable. » COUP DE THÉÂTRE

« Un seul en scène protéiforme aussi original et singulier qu’explosif de la comédienne Garance Legrou. Du burlesque à la truculence, de la satire au loufoque, de la réflexion à la dénonciation, de la dérision à l’autodérision, elle dispense une roborative ode à l’esprit critique. » FROGGY’S DELIGHT

« Entre satire et coups de gueule, entre espièglerie et intonation faussement didactique, Garance Legrou titille nos consciences et nos zygomatiques. Entre rictus et hilarité, on explore avec elle tout l’éventail du rire. Un hymne à l’esprit critique. Revigorant et stimulateur de consciences ! » UN FAUTEUIL POUR L’ORCHESTRE

Une pièce feel-good qui nous invite à savourer les petits plaisirs du quotidien.

Pour chasser les idées noires de sa mère et lui redonner goût à la vie, une petite fille se met à lister toutes les choses géniales – tout ce qui vaut la peine de vivre : les glaces, la voix de Nina Simone, se réconcilier après une dispute, le papier bulle…

Cette liste l’accompagnera toute sa vie, l’aidera à grandir et à se construire.

« Toutes les choses géniales » est un spectacle d’une grande humanité qui traite d’un sujet grave avec humour et sensibilité, tantôt drôle et léger, tantôt profond et émouvant.

Laurence Gray embarque le public avec elle sur le chemin de la vie dans une expérience collective. C’est une réflexion sur la résilience et la joie de vivre. Une ode à la vie.

Sélection Télérama Festival Off d’Avignon 2025 « Nos 22 pièces préférées à voir sur scène à la rentrée »

Coup de cœur Le Parisien

« Un spectacle heureux et joyeusement monté, une ode à la vie, tout simplement. » TÉLÉRAMA

« Léger, tendre et drôle » LE PARISIEN

« Spectacle qui évolue avec grâce, en équilibre entre l’humour et le drame. » LA CROIX

« Une sucrerie de vie à partager sans modération, on adore ! » LA PROVENCE

La folle aventure de trois ami.e.s qui sont allé.e.s pique-niquer pendant la fin du monde.

Demain matin, c’est le dernier lever de soleil. Le président à fait une annonce, le monde c’est fini. Qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on panique ? Est-ce qu’on n’irait pas plutôt pique-niquer à la plage ?

Profiter des derniers rayons de soleil !

C’est ce que choisissent de faire Charlie, Bastien, et Guillaume, nos trois protagonistes.

Pendant ce temps, une partie de la population ne se pose même pas la question. Entre deux tempêtes de sauterelles, les contrôleuses continuent de contrôler et les flics de fliquer.

La société est si solidement ancrée dans leurs esprits que l’apocalypse elle-même ne suffit pas à les en faire sortir.

« Un spectacle vraiment bien, bien et bien. Fin, fin et fin est précise, interprétée avec enthousiasme et justesse, fourmillant d’idées de scénographie et de mise en scène, d’astuces et de petits détails. L’influence de la trilogie des Cornetto d’Edgar Wright – Shaun of the Dead (2004), Hot Fuzz (2007) et Le Dernier Pub avant la fin du monde (2013) – est évidente, tant dans la caractérisation des personnages que dans le ton humoristique de la pièce. Fin, fin et fin est notre coup de cœur de la rentrée et une pièce idéale pour donner tort à celles et ceux qui imaginent que le théâtre, c’est poussiéreux. » BRUT.

« On comprend qu’il nous ouvre la porte d’un monde un peu particulier où il va falloir oublier tout ce qu’on connaît pour les rejoindre dans leur folie.
La mise en scène est très travaillée avec de vraies trouvailles ingénieuses et appuyée par une scénographie convaincante. Le niveau d’engagement des comédiens est maximal avec différents personnages tous plus crédibles les uns que les autres. On y aborde des sujets de société importants sur fond d’une magnifique histoire d’amitié. » L’AFFICHE

« Très inspirée d’un certain cinéma d’anticipation, Fin, fin et fin est un régal autant du point de vue de l’écriture que du visuel. C’est la fin du monde en version Monthy Python avec une dénonciation écologique de l’autoritarisme d’état, portée par des acteurs prodigieux. Génialissime ! » LA PROVENCE

« L’OVNI DE LA RENTRÉE ! Une écriture parfaitement maîtrisée sur un sujet complètement barré. La mise en scène est d’une efficacité, d’une précision. Lumières ciblées, décors ingénieux, la scénographie est impeccable. Et par-dessus tout, les comédiens. Autant de sincérité dans le délire, ça force l’admiration ! Cette aventure frénétique nous a surpris à chaque minute et nous a fait beaucoup beaucoup rire. Ils ont fait un carton à Avignon, ils sont en train de conquérir Paris … Fin, fin et fin ? Croyez-moi ce n’est que le début ! » AU BALCON

« FIN FIN et FIN est une météorite théâtrale qui te percute comme un astéroïde lancé à Mach 12. Tu t’attends à une simple comédie apocalyptique et tu te retrouves embarqué dans un véritable OVNI scénique. Les comédiens sont époustouflants. La mise en scène est millimétrée, brillante, bourrée d’idées qui fusent comme des feux d’artifice en fin de monde. C’est complètement barré mais tout est maîtrisé et assumé. L’exercice est amplement réussi ! Comme si Mad Max avait pris un cours de théâtre contemporain avec les Monty Python et les Nuls réunis : absurde, dingue, jouissif. Mais quoi ?! C’est une pépite à ne pas louper ! » MAISQUOI.FR

« Cette pièce conjugue l’absurde avec une virtuosité rare, provoquant des éclats de rire tout en gardant une profondeur malicieusement dissimulée. À ne pas manquer si vous aimez l’humour vif, l’imprévu et le plaisir de rire de l’inattendu ! » LE BONBON

« Fin, fin et fin ne ressemble à rien. À rien d’autre on veut dire ! Et derrière son humour absurde se cache du théâtre de grande qualité. C’est tout simplement génial ! D’une originalité, d’une fraîcheur, d’une créativité folles. Eugénie Thieffry, Baptiste Dupuy en alternance avec Enzo Monchauzou, et Lancelot Cherer nous embarquent avec eux dans leur univers complètement dingue. La précision de leur jeu, la fluidité avec laquelle ils passent d’un personnage à un autre, leur énergie, leur enthousiasme : tout y est. » L’INFO TOUT COURT

« Fin, Fin et Fin est une farce dystopique jouissive. Une fuite en avant absurde, construite en scènettes toutes plus horriblement drôles. Un délire à la Fabcaro qui donne à réfléchir. La mise en scène est d’une folle inventivité : tant par son dynamisme, son esthétique, que son interprétation cruellement juste. » FRANCE NET INFOS

« Un spectacle d’une inventivité folle et à l’humour décapant. A voir absolument ! On a tout simplement adoré ce spectacle ultra rythmé et surtout très, très drôle. Une véritable performance pour nos 3 compères qui nous embarquent dans leur univers complètement loufoque, mais si savoureux. » ET SI ON ALLAIT AU THÉÂTRE CE SOIR ? 

« Un cabaret apocalyptique. Sur scène, trois comédiens survoltés incarnent tour à tour une galerie de personnages délirants. La mise en scène, précise et inventive, regorge de trouvailles visuelles et sonores. Un univers oscillant entre Monty Python, Mad Max et Les Nuls. On rit beaucoup et l’on se laisse surprendre à chaque minute. Une météorite théâtrale, à mi-chemin entre cabaret de fin du monde et comédie de troupe. » FOUD’ART

« Fin, fin et fin nous fait entrer dans un univers déjanté, plein de rebondissements et de surprises qui étonnent le spectateur et lui donnent envie de poursuivre l’aventure. Cette pièce est une satire de notre société qui utilise les codes des films catastrophe et des films d’horreur. Ainsi, avec un humour grinçant et percutant, on assiste à une critique du pouvoir, du patronat qui en demande toujours plus. Une pièce surprenante, drôle et satirique servie par des comédiens qui ne s’économisent pas. » FAUTEUIL D’ORCHESTRE

« Joyeusement décalée. Tous les rôles sont interprétés par trois comédiens survoltés … À mourir de rire. » LE JOURNAL DU DIMANCHE  

« Une pièce jubilatoire laisse à penser que nous serions incapables de vivre pleinement nos dernières heures tellement nos rôles sociaux nous emprisonnent. Servie par trois comédien.nes survoltés, la pièce est menée tambour battant pendant 1 h 20. Les répliques fusent, la mise en scène – très inventive – ne laisse pas une seconde aux spectateurs (et aux acteurs) pour souffler. Un humour de situation totalement désopilant. » LE 18 DU MOIS – RUBRIQUE CULTURE

« Une mise en scène inventive et astucieuse. Une comédie apocalyptique flirtant entre le film catastrophe et le genre horrifique. » NOUVELLES DU 18ÈME

© Pénélope Marcadé