À PARTIR DU 23 SEPTEMBRE 2024
Les lundis et mardis à 21h
Les dimanches à 19h30
Jeu et conception : Solal Bouloudnine
Texte : Solal Bouloudnine & Maxime Mikolajczak, avec la collaboration d’Olivier Veillon
Mise en scène : Maxime Mikolajczak & Olivier Veillon
Création lumière et son, régie générale : François Duguest
Régie en tournée : Vinciane De Mulder
Costumes et accessoires : Elisabeth Cerqueira & François Gauthier-Lafaye
Production et diffusion : Le Bureau des Ecritures Contemporaines (Claire Nollez et Romain Courault)
Remerciements : Mathilde Bonamy, Augustin Bouchon, La Loge – Coralie Harnois, Alice Vivier
Production : MIAM-MIAM
Presse : Elektronlibre – Olivier Saksik
Soutiens : Théâtre de l’Aquarium, CENTQUATRE-PARIS, Carreau du Temple, festival FRAGMENT(S) #7, L’Annexe, la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile-de-France, la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Bourgogne Franche-Comté, Ville de Dijon, avec le soutien du Fonds SACD Humour/One Man Show
LA FIN DU DÉBUT
À PARTIR DU 23 SEPTEMBRE 2024
Les lundis et mardis à 21h
Les dimanches à 19h30
Avec La fin du début, le comédien Solal Bouloudnine nous plonge dans l’univers d’un enfant des années 90 qui réalise, comme tous les enfants avant et après lui, que tout a une fin, à commencer par la vie. Nous traversons avec lui une vie marquée par l’angoisse de la fin, dans une comédie touchante et vertigineuse.
Une bouchère bourguignonne, un chirurgien facétieux, un rabbin plein d’histoires, une maîtresse en burn-out, France Gall… A travers une galerie de personnages un peu fous et au son des chansons de Michel Berger, on rit avec Solal Bouloudnine de l’atrocité du cancer, des maladies vénériennes et cardiovasculaires, gastriques aussi, et cérébrales, de la solitude qui le ronge terriblement, de l’incommunicabilité entre les êtres, de l’enfance insouciante et naïve qui s’en est allée à jamais, viciée par les assauts du monde insurmontable, injuste et cruel.
La fin du début est un spectacle de variété qui se vit comme une chanson épique, ou l’inverse. C’est un mercredi après-midi entre copains dans une chambre d’enfant où les jouets activent les histoires les plus folles…
Durée : 80 minutes
À partir de 12 ans
« Solal Bouloudnine est le coauteur et l’acteur de ce seul-en-scène où l’humour fait corps avec une angoisse extirpée à coups de (bons) mots. (…) Obsédé par la mort (…) le comédien puise dans son hypocondrie de quoi nourrir une forme de jubilation. » TÉLÉRAMA
« Décoiffant. Solal Bouloudnine l’est assurément. Seul en scène, (…) le talentueux Bouloudnine se livre à un soliloque désopilant dont la particularité est de commencer par la fin. (…) Impossible à résumer, mais le public en redemande. » LE POINT
« Solal Bouloudnine est en quelque sorte l’esprit de Woody Allen dans un corps des Chiens de Navarre (…). On aime son jusqu’au-boutisme punk, et son humour grinçant. On aime aussi cette autodérision salvatrice propre à l’humour juif, qu’il travaille avec singularité et intelligence. » LES INROCKS
« Ou comment parler de façon hilarante et vertigineuse de la mort, de cette fin qui sous-tend un début et donc de fil en aiguille un milieu. Oui, le comédien va nous faire beaucoup rire. (…) Ce seul-en-scène à nuls autres pareil est de ceux auxquels il faut vraiment assister. » DE LA COUR AU JARDIN
« Il est libre Solal. Solal chante, Solal roule, saute, change de voix, d’accent et nous propose toute une galerie de personnages complètement fantaisistes avec ce spectacle aussi tendre qu’émouvant, aussi émouvant que drôle, aussi drôle que surprenant. » FOUD’ART
« Un seul en scène hilarant et joliment théâtralisé, où l’humour juif et l’outrance morbide font un ménage décapant. (…) Jamais, Solal ne cherche à se rendre sympathique ou touchant (…). Mais il le devient, grâce à la sincérité avec laquelle il fait face à ses angoisses, qui sont les nôtres. » SCENEWEB
« Le comédien est doué pour se glisser dans les personnages. Le texte, le jeu et la mise en scène forment un grand jeu de Lego où toutes les pièces ont leur importance. C’est irrésistiblement drôle ! » L’ŒIL D’OLIVIER
« A la croisée du seul-en-scène et du one-man-show, Solal Bouloudnine interprète avec humour, et parfois émotions, une galerie de personnages tous plus hauts en couleurs les uns que les autres. Difficile de ne pas s’esclaffer devant chacun d’entre eux ! » ET SI ON ALLAIT AU THÉÂTRE CE SOIR ?
« Il s’amuse (et nous amuse) follement … il a l’art du construit/déconstruit et ne manque pas de nous surprendre. » TATOUVU
« Il se promène dans un jeu-de-rôle à lui seul, avec la distance nécessaire qui permet au rire d’exploser. » RADIORCJ
« Un seul-en-scène décapant mené tambour battant par Solal Bouloudnine qui convoque le temps qui passe, la mort et Michel Berger dans un esprit à la fois drôle, sensible et punk. » ARTIPHIL
«Il dit sous le masque du clown la fin de l’insouciance, l’angoisse du temps qui passe et l’hypocondrie qu’il soigne à grand renfort de blagues et d’imitations. C’est formidable. » NOUVEL OBS
« Le précepte a des allures de métaphysique religieuse, le principe va en libérer l’énergie burlesque. » LIBÉRATION
« De l’art de canarder l’angoisse de mort à coups d’éclats de rire. » PIANOPANIER
« Ce spectacle est une célébration de l’imprévisible, où Solal Bouloudnine, dans un bazar organisé, touche à des thèmes universels avec esprit et intelligence. » MANITHEA
« C’est punk, drôle, noir et on danse encore sur des accords qu’on aimait tant. » FRANCE INTER – Le Masque Et La Plume
« Quel plaisir de découvrir un artiste aussi pleinement habité par son art, transpirant de créativité et d’une si grande générosité » L’INFO TOUT COURT
« Un soliste hors pair […] Ce clown attachant revisite ici sa jeunesse, entre joie et nostalgie. » ELLE